Avec l’engagement de la procédure de divorce par consentement mutuel, les époux souhaitent pouvoir tourner rapidement la page de leur mariage. Cette volonté peut se traduire par l’acquisition en propre d’un bien immobilier dès la procédure de divorce. La facilité à acquérir un bien immobilier propre dépend essentiellement du régime matrimonial des époux. En effet, les époux mariés sous le régime matrimonial de la séparation de biens ou de la participation aux acquêts peuvent à tout moment de la procédure de divorce acquérir un bien immobilier propre. Lorsque les époux sont mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts ou de la communauté universelle, le bien immobilier acheté pendant la procédure de divorce est un bien par principe commun. Même si cela comporte des risques, il est envisageable pour l’époux d’acquérir un bien immobilier propre pendant la procédure de divorce. Lorsqu’un époux acquiert un bien immobilier par le biais de fonds propres, le bien est propre à l’époux et ce, peu importe son régime matrimonial. Ils ont été constitués avant le mariage.
Le parc immobilier augmente deux fois plus vite que la croissance de la population. Le nombre de logement inoccupés est passé de 2 à 3 millions depuis la crise de 2008-2009, soit une hausse de plus de 50% en un peu plus de dix ans. En temps normal, plus on construit et plus les prix baissent, mais les aides publiques ont artificiellement soutenu le marché. L’évolution des prix dépendra donc de la politique monétaire de la Banque centrale Européenne, mais aussi des politiques du gouvernement. Dans les zones géographiques où le marché est tendu, le PTZ ne sera applicable que pour l’achat d’un logement neuf et non plus la rénovation d’un habitat ancien. Le dispositif Pinel ne sera pas reconduit dans les zones où le marché immobilier est moins dynamique. A ce resserrement, s’ajoute le fameux IFI (impôts sur la fortune immobilière) qui devrait remplacer l’ISF (impôt sur la fortune). Les taux d’intérêts augmenteront-ils ? Vous avez ainsi une visualisation complète de l’outil grâce à ce simulateur crédit. Notre site Internet vous proposera plusieurs outils de simulation dont ce simulateur de crédit, très utile dans le cas où vous contractez un crédit immobilier ou dans le cas d’un crédit à la consommation. Bien entendu vous pouvait faire vous-même les calculs notamment vous pouvez vous aider d’Excel, mais si vous n’êtes pas mathématiciens la formule peut-être complexe à appliquer. Avec le simulateur de crédit sur notre site Internet oubliez tous vos complexes et effectuez tous vos calculs rapidement et simplement à n’importe quel moment de la journée. Le simulateur de crédit est vraiment un outil adéquate dans le cas ou vous souhaitez contracter un crédit bancaire. La crise économique est unique et rajoute des difficultés supplémentaires à surmonter tous les jours, il existe de nombreux organismes auxquels vous pouvez contracter un crédit, des établissements sont spécialisés dedans mais vous pouvez également vous tourner vers votre banque. Un simulateur de crédit offre une situation du futur dans la mesure où souhaitez contracter un prêt. Voilà pourquoi nous avons mis ce simulateur à votre disposition à fin que le crédit ne soit plus quelque chose d’obscurs pour vous. Attention car ce simulateur ne remplacera aucunement une simulation que vous pouvez faire avec un organisme de crédit ou auprès de votre banque. L’objectif de ce simulateur de crédit est simplement de fournir des éléments de comparaison et de vous donner une idée par rapport à votre taux d’endettement et par rapport aux intérêts à rembourser.
Lorsque les époux souhaitent divorcer, il est fréquent que l’un ou l’autre des époux cherche à se reloger et envisage donc l’achat d’un bien immobilier. Ce choix peut poser un problème pendant l’instance de divorce car les époux restent solidaires tant qu’ils ne sont pas officiellement divorcer. S’ils se sont mariés sans contrat de mariage, tous les biens acquis par les époux tombent dans la communauté. En effet le régime légal est le régime de la communauté réduite aux acquêts lorsque les époux se marient et ne font pas de contrat de mariage, et celle-ci dure tant que le mariage n’est pas dissout. La particularité du divorce par consentement mutuel en ce qui concerne les biens immobiliers des époux réside dans le fait que le divorce ne peut être prononcé tant que le sort des biens communs n’est pas réglé avant l’audience. Lorsque l’un des époux souhaite acheter un bien immobilier, il peut indiquer dans l’acte d’achat dudit bien une clause qui est la déclaration de remploi qui va indiquer que les fonds utiliser par l’acheteur sont des fonds propres. Certaines communes connaissent des baisses de prix, par exemple Frossay, Villeneuve en Retz ou encore Chaumes en Retz. Mais il faut être prudent. Le pays de Retz reste globalement très attractif. À Châteaubriant, dans le nord du département, la situation est plus compliquée (-12,5 %). Comment réagissent les établissements bancaires aujourd’hui face aux demandes de prêt ? La conjoncture est-elle favorable ? Les taux restent historiquement bas. Cela permet d’avoir des achats relativement vertueux. L’année 2018 sera-t-elle finalement un grand cru pour l’immobilier ? Au premier trimestre 2018, on a connu une très forte baisse du nombre de transactions, en volume. Il y a eu redémarrage au deuxième et au troisième trimestre, avec de forts volumes, même si l’on n’atteint pas ceux de 2017, qui avait été une année record. En fin d’année dernière, il y a eu des annonces du gouvernement sur des réformes fiscales à venir (Pinel, prêt à taux zéro) et il y a eu sûrement de l’attentisme de la part des acquéreurs. Les contraintes ont été moins importantes que prévues et les projets d’acquisition sont repartis à la hausse. La nouveauté, c’est qu’aujourd’hui, il y a des fractures. La Métropole nantaise et le secteur de Saint-Nazaire sont dynamiques avec des volumes très soutenus et des hausses de prix. Ces évolutions locales viennent tronquer les moyennes départementales. À l’opposé, il y a des secteurs du département qui stagnent, voire avec des prix qui baissent, en zones rurales. Cela peut s’expliquer par la réforme du prêt à taux zéro sur les terrains à bâtir, limité à certaines zones urbaines.
Elles font parties des sûretés réelles. L’inscription hypothécaire est de loin la garantie la plus onéreuse. Si vous achetez un logement ancien, privilégiez l’IPPD qui est exempt de taxe de publicité foncière et dont les frais de mainlevée sont plus faibles. Notre conseil : l’IPPD ne peut s’appliquer que sur un bien existant. Si vous faites construire une maison individuelle, demandez à banque de mettre en place un privilège prêteur de deniers pour garantir le financement du terrain et une hypothèque pour garantir le prêt sur la construction. Depuis le début de la crise financière les banques ont nettement durci l’accès au crédit. La plupart d’entre elles exigent désormais que l’emprunteur dispose d’un apport personnel minimum, en général égal à 10% du prix d’acquisition plus frais de notaire. Pour les étudiants et les jeunes actifs en primo accession, la question de l’apport pose nécessairement un problème de taille puisque ces derniers n’ont pas eu suffisamment de temps pour économiser et se constituer un capital. Ce ne doit pas être un facteur bloquant pour votre projet.